shutterstock_277406489Dans un avis publié le 29 juillet 2016, l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments (Anses) propose de classer les perturbateurs endocriniens en trois catégories « avérés », « présumés » et « suspectés ». L’Anses préconise aussi que cette classification « soit réalisée par une instance européenne unique, de manière à éviter tout risque de divergence

[…] pour une substance donnée ».
Parmi les propositions de Bruxelles, l’Agence recommande de retenir celle, « fondée sur la définition de l’OMS/IPCS de 2002 qui fait consensus. Cette distinction, qui s’apparente au système de classification européen défini par le règlement n°1272/2008, permettrait que son application soit rendue rapidement opérationnelle. »
Enfin, l’Anses recommande « de ne pas distinguer l’identification d’un perturbateur pour l’Homme ou l’environnement ».

Référence Vigial : A81864