Les ministres de la Transition écologique et de la Santé ont annoncé avoir engagé la démarche règlementaire pour faire reconnaître le bisphénol B (BPB) comme un perturbateur endocrinien, au même titre que le bisphénol A (BPA). Cette décision fait suite à la publication la semaine dernière d’une étude de l’Anses (voir l’article L’Anses recommande d’éviter la substitution du BPA par le BPB) démontrant que le BPB présente des propriétés endocriniennes similaires à celles du BPA.
Référence Vigial : A103508