actu_FRANCESelon une enquête de l’association agir pour l’environnement plus d’une centaine de sucreries destinées aux enfants (chocolats, gâteaux, chewing-gums, bonbons) contiendraient des nanoparticules, des composants dont le Ministère de la Santé cherche actuellement à évaluer la dangerosité.

L’association pointe notamment la présence récurrente d’E171, un colorant à base de dioxyde de titane. L’ONG rappelle que « le dioxyde de titane a été classé cancérigène probable et on le suspecte d’avoir des effets toxiques sur l’ADN et les cellules. Sa présence sous forme nanométrique augmente sa dangerosité car il est capable de franchir les barrières de l’intestin, du cerveau et des reins et de s’accumuler dans l’organisme. »

Référence Vigial : A83079