La stratégie doit ainsi répondre aux enjeux suivants :
- Mettre en place une nouvelle méthode collective permettant de mieux se préparer, dans l’anticipation du retrait des substances actives, en communiquant sur un calendrier partagé des retraits de substances, et en identifiant les solutions alternatives disponibles (notamment chimiques et non-chimiques). Ce travail est engagé depuis début mai dans le cadre du comité interfilières.
- Rechercher, développer et déployer des alternatives non-chimiques, en particulier dans le domaine du désherbage.
- Accélérer et massifier le changement des pratiques et la reconception des systèmes.
- Protéger la santé humaine, notamment des personnes les plus vulnérables et des travailleurs agricoles, et l’environnement, notamment à l’échelle locale sur les zones et ressources les plus sensibles.
- Communiquer, accompagner et conseiller les agriculteurs, les filières et les territoires dans les transformations à conduire.
- Préserver les filières françaises d’une distorsion de concurrence européenne et internationale : articulation avec la négociation du règlement SUR et la mise en place de mesures miroirs.
SOURCE AGRICULTURE.GOUV