Depuis sa publication le 6 mai par les scientifiques de l’IPBES, autrement appelé le « GIEC de la biodiversité », le « résumé à l’intention des décideurs » de leur rapport qui sera publié en fin d’année suscite un écho planétaire. Ses conclusions vont alimenter la prochaine COP15, prévue à Pékin en 2020, qui pourrait aboutir à l’adoption d’un protocole mondial sur le modèle de l’accord de Paris sur le climat. Thierry Caquet, directeur scientifique Environnement de l’Inra, met en lumière le rôle clef que peuvent jouer les agriculteurs et les transformateurs pour ralentir l’érosion de la biodiversité. Interview.

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